Une histoire de visages, d’ours et de carton

Comment les portraits d’internés du camp de Beaune-la-Rolande dessinés, en 1941-1942, par Fiszel Zylberberg, dit Zber, sont-ils parvenus jusqu’à nous ?

Sortis du camp dans les mains de sa compagne, ces dessins ont connu sous l’Occupation un périple qui a lié le destin de deux familles. Cette aventure au croisement des routes tragiques de la déportation et de la clandestinité, une petite fille, Monique Furmanski, l’a gardée en mémoire. La voici aujourd’hui sous la forme d’une rencontre contée devant les œuvres de Zber, par le petit-fils de celle-ci.

En présence de Monique Furmanski, donatrice des œuvres de Zber.