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Autobiographie, l’écriture nécessaire

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« Celui qui entreprend son autobiographie semble d’abord devoir inventorier l’information qu'il possède, puis chercher à la vérifier ou à la compléter. Si ce n’est pas un travail d’historien, cela s’en rapproche [...] »

Avec la participation de Geneviève Brisac auteur de Une année avec mon père (éditions de l’Olivier, 2010) ; Jérôme Clément, auteur de Plus tard tu comprendras (éditions Grasset, 2005) ; Helen Epstein, auteur de Where she came from (éditions La Cause des livres, 2010) ; Lydia Flem, (sous réserve) auteur de Comment j’ai vidé la maison de mes parents (éditions du Seuil, 2004) ; Nadine Fresco, historienne, auteur de La Diaspora des cendres (in Nouvelle Revue de Psychanalyse, 1981) ; Philippe Grimbert, psychanalyste, auteur d’Un Secret, (éditions Grasset, 2004) ; Jean-Claude Grumberg, auteur de Pleurnichard, (éditions du Seuil, 2010) ; Martine Leibovici, maître de conférence à l’université Sorbonne Nouvelle – Paris 3 ; Philippe Lejeune, auteur du Pacte autobiographique (éditions du Seuil, 1975) ; Martine Lévy, éditeur ; Pierre Pachet, auteur d’Autobiographie de mon père (éditions Autrement, 1994) ; Martine Silber, journaliste ; Léa Wajs, psychanalyste, animatrice des ateliers d’écriture du MAHJ

« Celui qui entreprend son autobiographie semble d’abord devoir inventorier l’information qu'il possède, puis chercher à la vérifier ou à la compléter. Si ce n’est pas un travail d’historien, cela s’en rapproche [...] L’autobiographe, même s’il est en situation de créer, n’a pas la liberté, ni le désir, d'inventer. Il est requis par l’attention aiguë qu’il porte au réel, dans une attitude de recherche de la vérité [...]. Ses attitudes mentales sont très différentes de celles d’un auteur de fiction [...]. L’autobiographie est un difficile combat, une tâche presque impossible, pour qui en prend au sérieux les exigences. »
(Philippe Lejeune)

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