Chantal Akerman, née en 1950, est issue d’une famille juive polonaise émigrée en Belgique. Une partie de sa famille a été déportée à Auschwitz : ses films, son art restent en lien constant avec ce traumatisme.
Avec Maurice El Médioni, piano ; Emmanuel Massarotti, clavier, synthétiseur ; Luis Manresa, basse ; Abraham Mansfarroll, percussions ; Fino Gomez, guitare cubaine
À l’occasion de la sortie de son dernier ouvrage, De chair et d’âme, aux éditions Odile Jacob (2006). Conversation avec Claude Weill, directeur adjoint de la rédaction du Nouvel Observateur