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Michel Nedjar, Poupées Pourim
©Mahj DR

Michel Nedjar, Poupées Pourim

Du 9 mars au 13 septembre 2009

« C’étaient les jours où les Juifs avaient trouvé le repos vis-à-vis de leurs ennemis. Ils devaient en faire des jours de festin et de réjouissances »
(Esther 9, 22).

La fête de Pourim reste associée à la joie et au rire. Elle s’accompagne de nombreux rituels de carnaval, entre autres, des déguisements, des pièces parodiques, des parades burlesques, des pantomimes et des marionnettes.

De l’histoire d'Esther, Michel Nedjar privilégie la dimension de fragilité et de transgression. Ses poupées, confectionnées à partir d'objets brisés, de fragments d'étoffe, joints par de minces fils, disent l’instabilité de la condition juive, de l’exil. La tradition biblique est tout autant l'occasion de tisser une histoire où dominent le jeu, la cocasserie et la dérision.

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